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10 octobre 2020

L'Aquapopée 0/21

L'Aquapopée 0/21

Où Lao lâche les brides du compost lumineux pour mieux s’émoustiller les papilles à la froidure des mers, et c’est pas gala chez les arpenteurs de la vaguelette. Il a eu besoin d’humer les profondeurs des épices marinés et s’injecter aux flottaisons des plus barges les postillons des mauvais hospices.

C’est l’Aquapopée qu’il vous propose … une plongée dans des mondes où l’on rencontre la glaciation molle des résidus de nos déviances, et c’est aqueux. 

La question se pose du mouvement des moules dans le lagon et que ça prend sens quand l’incroyable cheminement de la bactérie s’émancipe sur un fonds libidineux. La tête de gondole sera à son apogée dans le tintamarre d’une remontée d’armada à l’horizon d’un alitement d’une fin de baie.

L’Aquapopée, un néant salé aux confins du concept du n’importe quoi. Il fallait bien que son immensité des bouts filandreux, le Grand Sachant, laminoir des bollards en goguette, vienne titiller la crémeuse mer des contrées hospitalières. 

C’est une série de récits tout chromé protoformé à l’océanite grise RAL 7015, et trempée de cette discrétion toute laodesque, mais qui apporte tant d’émancipations dans la godille. La crevette se mettra la carapace à l’équerre pour une nouvelle offre de bouquet et le cachalot prendra le mambo du gicleur à décompression pour le tempo d’un globuleux en Néoprène.

En matière de récipient à gouttelettes, c’est pas ce qui manquera chez le bucolique, le bienheureux bulot alcoolique des obscurs rochers mijotant ses bulles en marge d’un congrès de gastéropodes turbulents. 

Tout au long de cette virée maritime, Lao Ya Dureuz, sur une île ingrate, croisera un scientifique avec ses bouclettes en tubas majeur. Au fin fonds d’un obscur trou d’eau, d’une daube en mode bouillabaisse, il faudra, alors, s’arrêter sur la rencontre avec le sieur à bout rougeâtre. « T’es une allumette » demanda le petit Prince qui végétait dans un espace-temps liquéfié à la bouée de nitrogène. 

Il n’en sortira rien non plus de cet orifice pastellisé. Mais ça fera datte dans l’oasis méditatif de Lao Ya Dureuz. On plantera les jointures aussi dans la névrose des ankylosés en croisant la route éphémère d’un pirate aux crustacés intégrés.

Et l’on verra, si t’as pas le groin échaudé, que tout n’est pas reluisant dans le néant humide. Car c’est bien beau d’éructer les délices des grands océans mais y’a à dire sur les déferlantes dans la mouillette. 

Toutes ces rencontres formeront les plis d’accointances morbides. Bien sûr, petites fritures, vous vous demandez ce qu’irriguait le Grand Sachant, omnipotent des savoirs terreux aux lombrics harmonieux, dans cette vaste ridule humide. Point d’exubérance dans l’attente, comme disait le tonton « Tout est dans le lubrique, faut du contenant dans la poignée », l’Aquapopée emportera la déraisonnée humide de Lao Ya Dureuz..

Lao Ya Dureuz, Grand Sachant, immensité des plaines herbeuses et réceptacle des malfaçons, porta un vif intérêt à la chose humide, non pas la voisine… petits encollés des pupitres à blaireaux….  Le Lao, il goûtait la mer salée et vivante des grands horizons. Il avait l’œil frémissant des découvreurs de rien mais que ça compte quand même pour les plus aventureux des complexes tout-en-un.

D’un jet humide et non nonobstant crispant dans l’entame du propos, Lao Ya Dureuz décida de prendre part à une grande traversée des mers des contrées hospitalières. 

Qu’importe le canot, récipient flottant des folles escapades laodesques, seul comptait pour sa Grandeur, le désir de découverte méditative dans les grands espaces tout mouillés. Pourtant, après quelques vaguelettes en roulis, la nausée vertigineuse des grandes nappes bleues l’invita au marasme juteux. 

Faute d’horizon, les molaires embourbées dans le vomissement lacté, Lao Ya Dureuz comprit qu’il allait galérer dans le sévère du sensoriel des sordides apathiques. Faut croire que même les plus encollés ont du mal à garder l’ellipse dans le bon sens. Fallait garder le cap, et malgré l’engluement de son état nauséeux, Lao continua sa saine traversée à la recherche de moultes aventures marines, t’auras les narines dans le dur comme disait la cousine le doigt dans la margarine. Et c’était parti pour l’Aquapopée… Ken Tuch’s les baleinoux.

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