Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
untourdansmacoquille
5 septembre 2020

Les incontournables de Lao Ya Dureuz 100 - le sans thème

Le sans thème, si t'as pas lu les 99 précédents, t'as raté le colimaçon.

 

C’est le soir. Le vent s’est vautré dans les esgourdes des plus offrants. Y’a carême chez les molaires. Pas un liseron de dépôt sur la molécule des éveillés. Et puis, c’est le matin. Le soleil se prend les filaments dans les lourdes des fissures du bien-pensant. Un verre d’eau pour complice et t’as l’impression de sortir les niches de ta grande sierra. Et pourtant c’est le fonds du mauvais qui transpire sous tes missels de faiseurs de rêves. 

Vot’biographe dans sa démesure lexicale, et en captation d’une once de lumière dans vos cavités engorgées par les bouches à merde, continue sa quête des meilleurs propos laodesques pour petites crevettes. Et c’est pas rien. J’avais prévenu les écaillés du crâne que cela demanderait un zeste d’accointance à la morbide déflagration d’un pet d’huitre. Certains, les plus sensibles de l’amphore, ont lutté face aux désirables vergetures de cloportes. Malgré cela, nous les avons perdu dans d’horribles douleurs sucrées et operculées.

L'entonnoir tempère sa fierté

La porte close reste muette

Face aux assauts du grotesque trousseau.

Y’avait du lourd sur les étagères du Grand Sachant. Fallait voir les récipients à mots, grandes jards en recherche de poudre d’escampette pour mieux faciliter la magnificence d’un modeste.

Le biographe n’est qu’un récepteur, un peu gouleyant dans sa saveur, il vous met le discernement sur un socle de bidet façon Mauricette les doigts dans la mayo, c’est l’épanouissement des plis. Il profite d’un replis stratégique dans le lipide pour mieux vous assaisonner les meringues ou ce qu’il en reste, petites sucettes.

Oyez ! les équeutés des bas-reliefs

Les salaisons sont de retour pour un tour

Dans la mascarade des raisonnés.

L’intendance basique sur assise dégondée a été en recherche ces dernières lunes pour vous apporter sur le fût touffu d’un mauvais chasselas, et c’est pas Mauricette qu’a tiré la bobinette, l’excroissance d’une platitude réflexion sujette à gravitation.

Vous en avez eu 99 dans les roufliquettes. Certains sont toujours en cours de digestion dans le collecteur à raison, car tout n’a pas été encore décrypté. D’autres sont déjà dans la broyeuse à sédiments pour simple régurgitation sur un candélabre dessalé. Faut voir les mouettes se bâfrer les ailettes à la sauce écrevisse quand les molletonnés du genou viennent réciter leurs mielleuses sentences de bouches à merde. Toutes ces facétieuses et clairvoyantes hachures de la Contrée abreuvent les champs du dérisoire en ritournelle impavide,  t’auras le tempo au bout du second. 

Y’a encore de la lumière dans la boîte laodesque, vot’biographe n’a pas fini de vous écrêter les tiges pour petits destins et ce sera encore un feu d’artifice coloré dans les sombres tuyaux d’un monde qui n’a plus les vannes de son postérieur.

Assidus des incontournables, profitez du séant

En fines galantines, les douces lamelles vous feront la risette

Garantie d’une saine léthargie sucrée et mousseuse.

N’ayez craintes, vos étreintes labiales séquencées en frisettes les plus nettes vont continuer à se soulager le long des palissades de vos enfermements du bulbe. Les incontournables de Lao Ya Dureuz ont la ressource déblindée d’une petite guinguette façon Mauricette, les nœuds dans les pompes à bulle. 

Ken Tuch’ les tutos.

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
untourdansmacoquille
Publicité
Archives
Publicité