Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
untourdansmacoquille
23 mars 2019

Les incontournables de Lao Ya Dureuz (25)

Un matin.... Mon beau lapin, t'avais comme un air de recyclage dans le bazar naturel, un petit fumet de fond de veau sur une base polymère.... Lao vaquait à ses occupations transcendantales en version résonance des masses pour éviter l’effort trop violent ... il pensait. Je sais, c’est trop ouf pour vous... petites libellules d’un soir. 

D’un coup, Lao décida tout de go de gloser sur le néant. Et c’est ainsi que l'immensité, Grand Geysers parmi les puits,  Lao Y'a Dureuz, avait poussé la lourde du modeste logis, tout juste payé, d’un soi-disant omni-Practice en enfumage. Il y avait comme du mauvais jus dans les raisins secs. T’avais beau connaître le gus...tu te trompais, tu pensais que c'était sa sœur... mais ça marchait aussi avec sa cousine, mais elle est moins fine. Le lustre des luminaires a eu une remontée sanguine dans le zeste des capillarités. Un rien rosi par l'effet de surprise, il a constaté, non m’dame sans les mains, qu'il y avait là, matière à aseptiser du lourd, du concret à la face des blanchis du nénuphar. 

Ledit Practice thérapeutique, sans hâte, car c'était son jour de repos, et on le sait il est connu pour ça, annonça au grand Sachant, que sa grandeur avait l’œil moite. 

Lao, grand seigneur à la lame d'acier...telle la certitude d'un matin au levant, au milieu d’un déclin, perlimpinpin, scruta le fossile ridiculement petit qui se tenait devant lui. Une brindille aurait plus de prestance que ce rejet moyen de fond de glotte, se dit-il.

Malgré l’inquiétant trou à neurone représenté par ce spécimen désuet, Lao Ya Dureuz décida qu’il devait se mettre à niveau, passage obligé, pour ne pas froisser le peu d’humanité restant au fond de la bassine ; tant qu’y a du raisin sur la grappe, faut savoir l’écraser. 

« Confrère, l’œil moite est signe de dégénérescence avancé » stipula en docte le Practice omnitruc. 

Lao, toujours dans le contrôle en période hivernale et sans pneus neige, ne répondit pas de suite. C’est qu’il fallait digérer la logorrhée de l’échantillon. « De quoi je me mêle, le gnome » sans ambages, Lao avait soigner sa répartie, avec un petit fond de boule à facettes… C’est que le Lao   il avait compris le sordide, le pleutre en culotte courte qui faisait le malin devant lui, du genre mirage fugace  et vendait son potage à l’eau claire pour un cataplasme miracle. Ça allait être la sortie de la torgnole à nitroglycérine dans les narines. Y va avoir de l’indigent chez les blouses blanches.  Lao entama une remontada de derrière les fagots,  le Practice médicinal  eut tout juste le temps de remballer la marchandise dans ses parties pour éviter des désagréments avant que l’ère de la glaciation ne lui surgisse dans les circuits. Le sombre avait pris le dessus, Son Immensité mit les petites barquettes dans les bacs inox pour réfrigérer le néo-post thérapeute practicien à ses heures et le termina à la râpeuse à betterave. C’était sanglant dans le bain-marie. Lao avait la bienfaisance fraternelle sur le grouillement des petits à la poursuite d’un rayon de soleil, mais le glauque dédaigneux, que dalle. 

Il stoppa net la cavité à oraison en mode continu du Practice médicinal et l’abandonna dans sa léthargie futile. Puis d’un pas léger comme le fond de l’air vicié d’une fin de saison, Lao regagna ses pénates pour se jeter un petit gorgeon. Rien de mieux pour la moiteur des globules. Ken Tuch’ les rescapés. 

Publicité
Publicité
Commentaires
untourdansmacoquille
Publicité
Archives
Publicité