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untourdansmacoquille
9 mars 2019

Les incontournables de Lao Ya Dureuz (23)

Faut-il toujours répéter les gammes pour se coltiner les mêmes graveleux ? Ben non, je suis désolé. Quelques invalides brumisateurs s’offusquent des effets linguistiques des contributions laodesques. Je me gausse de ces incontinents du verbiage.

Biographe officiel et traducteur émérite, je me dois d'employer ces mots tout au long de mes contributions, même si une masse laborieuse et non gratifiée d’attributs sensorielles au niveau des neurones, se montrent, en décadence profonde, offusqués par ces propos. Alors, circulez, et surtout évitez les passages piétons, ça fera du ménage. Je ne fais que retranscrire dans ma modeste prose épileptique, les connaissances, les enseignements du Grand Sachant Lao Ya Dureuz. Si vous croyez que cela me rend humainement joyeux, c’est que nous n’avez pas vu une cavalerie d’ouzbeks en morte plaine fondre sur les éléphants d’Hannibal. C’est d’la ouate. La vie dans le vrai monde, avec les gens, elle est bien plus dur. Lao Ya Dureuz, il a tout capté. Alors il a pris le temps de se confectionner une carapace de blaireaux pour mieux te les mettre, tes quatre vérités, bien profond. Et c’est pas fini, il reste plus de 200 tomes des « Incontournables de Lao Ya Dureuz », alors t’as le temps de te faire une ligne de moignons.

Bon, pour les plus sceptiques, ceux de la fosse, la minorité bien panseuse et charnue, Lao Ya Dureuz n’a aucun compassion, zéro…nada… Le Grand Sachant, Être phyto-épuré, respire l’air pur de l’insignifiant petit sans se préoccuper du gaz ventripotent des masses. Il a bien fallu qu’il se fasse une raison, et sans être funèbre, car il est pas là pour se faire du mal, Lao Ya Dureuz, il a tout inventé même ce qu’il reste à découvrir il l’a conçu dans sa capsule neuroleptique à anti surverse. J’explique par l’exemple pour les plus coriaces de la mandibule. 

Au plus fort d’une bourraque d’huitres venteuses, petite risée du matin, serein, les volets claquaient la tronche des ossatures du logis laodesque. Ce dernier, grognon en absence d’un en-cas pré-digestif, devint glauque et peu réceptif à la douceur du beuglement des effluves dans les lattes des dits-volets. « Faut s’faire une raison, on va sortir le grand jeu, la chignole à pépète » se dit la Grand Sachant prêt à en découdre, façon battes de base-ball. Lao Ya Dureuz est réputé pour sa grande sagesse mais y’a des fois où il a les gonds en goguette.  « Que je sache, c’est pas trois lattes de bois spongieuses qui vont m’empêcher de poursuivre ma réverbération assoupissante » Lao alla, je sais il est grand -n’en faites pas trop quand même, il pourrait le remarquer - donc il alla chercher dans sa grange à idées, l’outil nécessaire à stopper net ce déferlement cyclonique. Il avait l’instrument, l’engin, et non M’dame arrêtez de baver ! … Car, la burineuse pneumatique à tronches en biais était le dispositif idéal. Deux ou trois taraudages in profundis et les volets avaient les moyeux rivetés au dormant.  « Hé Hé, good job !» Lao était satisfait du résultat. 

Ken Tuch’ et n’y revenez plus les tristounets du verbiage… la burineuse pneumatique à tronches en biais, elle est poly-glotte. 

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