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untourdansmacoquille
27 octobre 2018

Les incontournables de Lao Ya Dureuz (2)

Vous êtes encore là. Lao Ya Dureuz, le grand Sachant, vous en est reconnaissant. Malgré la stupeur des premières lectures des pensées du Grand Sachant, chacun d’entre nous ne peut pas détourner la tête et se doit de poursuivre cette quête sans fin. J’ai moi-même compris cela il y a bien longtemps au soir d’un coucher de soleil enivré par le souffle chaud sur mon corps défendant d’un être frêle qui murmurait à mon oreille une série de mantra à base de code bancaire. Sans défense nous le sommes, et alors, Lao Ya Dureuz nous dit que seul compte l’effort de poser ces deux pieds à terre, après c’est open. 

A l’orée d’une toison dorée tout juste rasée, l’œuvre se poursuit par un nouvel ouvrage aussi puissant qu’un taureau rentrant dans une arène monacale, le charisme en moins. Vous y trouverez toutes les recommandations nécessaires à une vive saine et rangée comme les chaussettes de l’archiduchesse si elle ne voit pas un chasseur dans un fourrée. Vous sentez cette odeur suave et empoisonnante qui attaque votre narine gauche dès l’ouverture de cet ouvrage, vous semblez alors alpaguer par ce que vous dit le Grand Sachant reprenant son célèbre sermon de l’avant : « le problème dans la macédoine de légumes, c’est quand il y a trop de carottes ». Et là vous vous dites « Wouaf ». C’est toujours comme ça au début, votre côté animal ressort et puis vous trouvez votre maître(sse) qui vous met votre laisse.

A propos de charisme, selon les propos ancestraux du grand Lao Ya Dureuz, le charisme ce n’est qu’un problème de colonne vertébrale…. T’enlèves une vertèbre et tu as le charisme d’une huître…. Et Lao Ya Dureuz poursuit en déclamant un poème dont il a seul le secret et c’est bien comme ça. Ne pensez pas que vous allez pouvoir, avec vos petites oreilles aux lobes duvetés, sombrer à l’écoute de ses doux mots, car la pensée poétique du Grand Sachant n’est qu’intérieur, meublé et avec tout le confort. Allez sur les chemins, usez les talons de vos bottes d’incubateurs de pervers en tous genres, cherchez la parole du Grand Sachant, elle est tout autour de vous. 

Au final de cette deuxième contribution toute aussi enjouée et profonde comme la gorge ouverte d’une poitrine dénudée d’une jeune biche échaudée par la compréhension des propos du Grand Sachant…. Je me perds dans mes digressions toutes moites… je reprends le fil de ma pêche pour prévenir les plus sceptiques que ma prochaine contribution sera issue du troisième tome des œuvres de Lao Ya Dureuz, qui je le rappelle en compte 267,5 tome sans croute… le dernier n’ayant pas été terminé avant le départ du Grand Sachant vers les mers sombres et liquoreuses d’une pension de famille au bord du Pacifique, tout confort aussi. Cette troisième contribution portera sur : « le doute, est-ce seulement une absence d’air dans la déroute ?».

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