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untourdansmacoquille
26 octobre 2019

Les incontournables de Lao Ya Dureuz (58)

A l’orée de cette audacieuse nouvelle saison, symbole des déraisons laiteuses, la tâche ingrate du biographe émérite des truculences laodesques gorgées à la nébuleuse à crampons, est de vous maintenir les babines suffisamment humides pour garantir la bonne déglutition des apports de son immensité en locutions transe-frontales. C’est pas que ça picote mais faut quand même y faire gaffe. Notons dans le propos informatif que le taux de perdition des serins est à la hausse et c’est pas bon pour le biotope des gazons fossilisés. Je vous parle des serins, modestes boulettes jaunâtres issus de mutation à l’échelle d’un cube de margarine hors d’âge, comme je vous pourrai gloser sur la passible attention des bigorneaux face aux prédateurs noctambules à crochets. Cela ne servirait à rien, je constate, aiguillettes en mal de synthèse, que vous êtes accrocs au Lao ci-devant illustre et pléthorique contributeur des inconscients du nombril, vaste fourretout pour enkystés aux soi-disant égaux. Bien confort dans sa mousse synthétique expansé, le quidam moyen se délectait les laminaires du cortex à base de fécales sornettes issues des brumeux cathodiques. Alors il faut le ramoner sévère dans le tergal à la batte de chêne vert. Important le chêne vert, car force et solidité forment la quintessence d’un bon lattage des particules. Les contributions du grand Sachant Lao Ya Dureuz, éphémère lampion des nocturnes errances, ont l’outrecuidance de vous les sortir indemnes.

La chose est entendue, t’as maintenant le clapet en mode coquillette et c’est la voisine qu’a la touillette. Alors t’es prêt de nouveau au grand saut dans l’univers de Lao Ya Dureuz.

On fera rapide pour cette reprise. On donnera  direct dans la sordide gratification pour les plus diserts à la pensée laodesque. Y’a pas de mystère, tant que ça craque, la molette à gicleurs est sous tension, comme disait ma voisine le disjoncteur incandescent.  T’as le sabot dans la couenne, une certaine vision du terreau et puis là une petite fissure te susurre dans le colimaçon. Tel le troupeau de buffles sur un champs de pâquerettes, c’est une façon de voir les miettes avant la croûte. Pourtant, le buffle, horizon d’envergure à flux tendus, agit avec la cuillère dans le bas morceau pour éviter le dépôt de grumeaux. Prenez-en de la grappe, petites tétines desséchées, la noirceur d’une cerise n’a d’égale que la rondeur de la truffe d’un blaireau ensablé. C’était écrit, j’aurai tout tenté mais je me répète. Ce jour-là un buffle esseulé, comme la branche d’un baobab en fin de sirocco, faisait le pet pour ainsi dire qu’il était en veille de fin de cycle. Rien ne bougeait, telle la cousine devant un champ de poireaux, une momie des plaines. Quoique, le fin observateur en la présence de son immensité, lamineur des rotondes à filaments, décela, et c’est pas de sitôt tu l’auras capté, une vague trépidation en dorsal du dit bovin. Y’a du flair chez Not’Lao et derechef, camisole des toqués imberbes, il s’approcha à pas comptés. Pour des raisons pratiques et dans l’espoir de vous tenir éveillé plus de trois molletonnés hybrides, je vous ferai grâce, non M’dame c’est pas soirée raclette, du décompte des pas laodesques. Disons qu’il y en a eu un paquet autant du gauche que du droit, et dans la profondeur, aussi y’en avait. C’était uppercut à chaque enjambée dans les lessiveuses à glamour. A l’abord du bovin trépidant, le Grand Sachant, œil éruptif des plaines nauséabondes, distingue sur la croupe veloutée de l’encorné un marteau-piqueur des parasités. Bien crocheté sur le duvet du mammifère consentant, rien ne lui échappe au volatile dans sa conception mutualiste du garde-manger. Tout bovidé qui se respecte, a son locataire sur ses dorsales. Ça sent la plaie purulente des fins de repas, t’as le tique qui chatouille. « Et vous en reprendriez bien une petite dernière larve pour la route » c’est qu’on est convivial dans le cuir saignant, et non M’dame on fait pas dans le clou à lanières. Modeste dans les agapes, Lao laissa le buffle et son coloc en buffet parasitaire poursuivre leur quiète symbiose. 

Voilà une petite baliverne laodesque pour s’édenter le vermillon de sa conscience soi-disant émérite. Pour autant, t’as toujours l’errance dans les narines, la clémentine en partance pour le sorbet sans glucose. Faut remédier à cette névrose tachetée à la gloriole des baveux. C’est la grande posologie du grand n’importe quoi à vous servir en capsule  de dérision déraisonnée. Modeste biographe du Grand Sachant, pharmacopée des labiales desséchées, ma frustre mission est de poursuivre votre initiatique quête du savoir laodesque par l’intermédiaire des récits liquoreux de son immensité, kevlar des godillots. Et ça va dégommer sévère, y’aura du bigorneaux dans les naseaux. Ken Tuch’ les grouillots.

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