Les incontournables de Lao Ya Dureuz (56)

Les baveux notoires en remerciements.

A l’oreillette d’un sémaphore appareillé, il est temps d’émettre une onde larmoyante en remerciements. Ça a grincé tout au long de ces contributions laodesques et sa grandeur, immensité des plates aspérités à sachet ouaté, a voulu dans la soie vous soigner les courbatures en cervelas  par l’entremise concordante de la grande parades des glorieux, les médisants faudrait voir à s’abstenir.

Ainsi lançons-nous dans des circonvolutions en tous genres aux rythmes effrénés d’un bavement longitudinal, et aux vaines congratulations les plus humectantes à cette mince couche de firmament en simple appareil pour soirée à raclette parce que rappelons-nous ce« grand n’importe quoi d’idées qui foisonnent dans un esprit supérieur destiné à ces êtres sans cerveau qui errent dans les villes pour aller travailler » (texte 1)… Oui c’est un grand n’importe quoi mais qui n’aurait pas pu rentrer en mode décadent sans la rencontre avec ces êtres à la noblesse nonchalante…. Dans un ordre, qu’il restera à déterminer quand nous en aurons fini avec les dispendieux roboratifs des bouches à merdre, ceux-là, notons-le  au séant , ont été omniprésents dans leur souffrantes présences, nous tamiserons fort le soufflet à injecteur pour en ressortir la quintessence des moelleux scabreux, des nébuleux petits facétieux, des fastidieux en laineux, des glorieux du peu, petits dégoupilleurs des platanes herbeux….

Dans le noble cortège, remercions…

 L’huitre (texte 2), la mouette (textes 3, 15, 21), un troupeau de buffles ou le buffle (textes 5, 13, 20, 22, 30, 40, 45), le goéland (texte 15, 55), le lombric (texte 15), le choucas (texte 15), un sconse (texte 19), un crapaud-buffle (texte 20),) une langoustine (texte 21), la taupe (texte 22, 34), le bison (texte 22), le lapin ou Lapinou (textes 29, 31, 33, 38, 40, 43, 53), un troupeau d’aurochs (texte 29), des bœufs (texte 30), les blaireaux (texte 34), un lama (texte 35), la limace (textes 39, 40), la crevette (textes 7, 53), l’ara (texte 55), un Parasol du CNES (texte 5), Buzz l’Eclair (texte 5),, le fidèle bison masqué (texte 9), un quidam moyen (textes 19, 24, 34), la burineuse pneumatique à tronches en biais (texte 23), la chatte de gouttière (texte 27), le yak (textes 45, 46, 47, 48), la fruide (textes 47, 48).

N’oublions pas :Madame (texte 7), l’enfant (texte 11), M’dame (textes 12, 26, 39, 42, 45, 49, 53, 55), Monseigneur (texte 14), ma grand-mère (textes 21, 26), la cousine (textes 25, 44), le marin (texte 31), la voisine (textes 33, 38, 47, 48, 52), Mauricette (texte 53, 55).

Et bien sûr : LI CHOU ZE (textes 12, 14, 27, 52), Maître DEE DROUZ (textes 14, 28, 29, 33, 42, 53, 55), Yoda (texte 9), le Père Noël (textes 10, 11), le P’tit LU (texte 16).

Sans oublier : Hugues AUFRAY – « un vieux chalet » (texte 17), Yves DUTEIL – « le petit pont de bois » (texte 24), Serge GAINSBOURG – « les sucettes » (texte 31), Serge LAMA – « mon ami, mon maître » (texte 35), Alain BASHUNG – « Gaby, oh Gaby » (texte 36).

 Et voilà, t’as les voiles du bonheur qui tombent sur tes socquettes évasées d’avoir séquencé les contributions du Grand Sachant. 

Lao Ya Dureuz avec l’aimable lactation du premier mollusque venu en la personne de votre serviteur, biographe émérite au rhum agricole, voulait s’incliner lestement dans le mucus, à peine tiédi pour garder la viscosité du fondement, devant cette étagère à pensionnaires.

C’est çà… le grand souffle des placards liquoreux de son immensité. Ken Tuch’ les bibliomanes.